Je crois que le dérèglement climatique porte quand même bien son nom : après un mois de grisaille oscillant entre neige et pluie, Paris est sous le soleil un 25 décembre.

Bon, d'accord, c'est sympa de passer Noël au soleil, surtout pour tous les voyageurs ayant du annuler leurs vacances à cause des soucis de train et d'avions ne partant pas ces derniers jours à cause de la neige, mais y a un truc qui me chiffonne. Comment se fait-il qu'il fasse beau justement le jour où je suis coincé au bureau, en train d'avancer sur les trop nombreux dossiers en retard accumulés cette année ?

A force de me narguer, la nature va vraiment m'agacer... même si je n'y peux rien.

D'aucuns prendraient ça comme un narguage en règle. Je préfère me dire que c'est un court répit bien mérité pour recharger nos batteries avant de replonger la tête la première dans le froid glacial de cet hiver loin du climat tempéré censé régner dans notre beau pays.

Va quand même falloir qu'on pense aux élections présidentielles : depuis que nous avons ce président, tout déraille, y compris la météo. Dingue, non ?

Blague à part, je suis quand même content d'être arrivé jusque là et serai ravi de passer à l'année suivante, surtout si tout ce que je fais depuis un an et demi continue à progresser et donne enfin ses fruits. Car mine de rien, y a quand même un moment où il faut récolter les fruits de ses longues semaines de travail sans voir le jour et ces longs mois de réflexions et questionnements en tous sens !

Passez un bon week-end et de bonnes fêtes de fin d'année.